Film about the BCL's missions and tasks
Mise au point de la Banque centrale du Luxembourg par rapport à l’article du « Spiegel » du 25/12/2011
Der Spiegel-Artikel vom 25.12.11 zur Banque centrale du Luxembourg (BCL) enthält viel Neues und Richtiges. Nur ist das Richtige nicht neu und das Neue nicht richtig.
Die BCL hat von jeher eine Bewertung der in Luxemburg notierten Wertpapiere auf täglicher Basis vorgenommenen. Seit Juli 2011 werden von einem externen Datenanbieter zusätzliche Informationen täglich zur Verfügung gestellt, die dieser zuvor nur wöchentlich geliefert hatte. Die BCL hat nie bestritten, dass es vereinzelt zu Verzögerungen bei der Aktualisierung gekommen ist und hatte frühzeitig Abhilfe geschaffen in Kooperation mit dem Datenanbieter. Die BCL verwaltet mehr als 9 000 Wertpapiere. Dass Notenbanken des Eurosystems externe Datenanbieter zur Informationsverarbeitung zwischenschalten, ist bei denen mit größeren Börsenplätzen aus Effizienzgründen üblich.
Die Bewertung der Papiere der portugiesischen Bank Banco Santander Totta entlang eines sogenannten Programmratings war und ist korrekt. Der Hinweis der Europäischen Zentralbank, es gäbe einen Reklassifizierungsvorbehalt steht dazu nicht im Widerspruch. Alle fast 30 000 notenbankfähigen Wertpapiere stehen ständig unter einem solchen Reklassifizierungsvorbehalt.
Bei der "Karteileiche" handelte es sich um ein Wertpapier, für das es noch Ratings und Klassifizierungsinformationen des externen Datenanbieters gab, obwohl das Papier vom Emittenten zurückgekauft worden war, das heißt es nicht mehr existierte.
La Banque centrale du Luxembourg élucide:
L’article du Spiegel du 25 décembre 2011 comprend nombre d’éléments neufs et corrects. Cependant les informations correctes ne sont pas nouvelles et les informations nouvelles ne sont pas correctes.
La BCL a toujours évalué sur base quotidienne les titres cotés à la Bourse de Luxembourg. Depuis juillet 2011 un fournisseur de données externe apporte quotidiennement des données additionnelles; auparavant ces mêmes données étaient fournies sur base hebdomadaire. La BCL n’a jamais contesté que, dans des cas isolés, il y ait eu des retards dans la mise à jour des titres et avait rapidement remédié à cette situation en collaboration avec le fournisseur de données. La BCL gère plus de 9 000 titres. Le fait que des banques centrales nationales de l’Eurosystème aient recours à des fournisseurs externes pour la gestion des informations est usuel dans les pays avec des places boursières importantes.
L’évaluation des titres de la banque portugaise Banco Santander Totta selon un Programrating était et est correcte. L’information de la BCE selon laquelle ces titres se trouvaient sous réserve de reclassification n’invalide pas cette évaluation. Tous les titres éligibles comme garanties dans l’Eurosystème -presque 30 000- se trouvent en permanence sous une telle réserve de reclassification.
Dans le cas du maintien non-justifié d’un titre sur la liste des titres éligibles, il s’agissait d’un titre auquel le fournisseur externe de données continuait d’attribuer une notation et des informations de classification, alors que ce titre avait été racheté par l’émetteur et n’existait donc plus.